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Si vous suivez ce blog vous n’êtes pas sans savoir l’affecte qui me lie à la Colombie. C’est là que ma « vraie vie » à commencer. Que mon expansion professionnelle mais aussi personnelle a pris corps.
A l’époque de la création de mon entreprise en Colombie j’avais commencé un petit blog qui était diffusé en comité restreint dans lequel je racontais jour par jour la formidable histoire que nous étions en train d’écrire avec mon associé.
Les années ont passé au gré des allers-retours, strictement professionnel et du coup nous n’avions réellement jamais pris le temps de de visiter de profiter de ce magnifique pays. Chaque voyage était uniquement axé sur « boulot, boulot, boulot ».
C’est décidé cette année nous partons en Colombie pendant trois semaines complète sans bosser (ou presque).
Au programme Bogotá, Pereira et la vallée du café, Medellin, Cartagène des Indes et Santa Marta.
L’on pourrait qualifier ce voyage en fait de la #Step0.
Bogotá, la ville qui divise
Le climat
Bogotá, est une immense ville située à environ 2700 mètres d’altitude, sur les hauts plateaux de la cordillère des Andes.
Ce qui fait que malgré une latitude proche de l’équateur le climat à Bogotá ressemble un peu à celui d’un pays tempéré. Sauf que de mon point de vue, le climat n’évolue que très peu durant l’année.
Il fait toute l’année entre 10 et 23 degrés. Avec des pics vers le haut ou vers le bas bien entendu. Il n’est pas rare au petit matin d’avoir juste quelques degrés au thermomètre mais cela monte rapidement.
Dans la même journée il peut donc faire froid et chaud, il faut donc s’équiper en conséquence, sans compter les épisodes pluvieux digne de films d’horreurs quand les nuages reste bloqués entre les montagnes. (J’en frissonne encore !)
Des pluies diluviennes pendant quelques heures provoquant des inondations, bloquant les transports (Le fameux Transmilenio) arrivent assez fréquemment !
Je n’ai jamais vu de l’eau monter aussi vite qu’à Bogota c’est complètement fou.
Premier argument de division
Une grande ville
Bogota est la capitale de la Colombie. Toutes les instances politiques y sont présentes. Le plus grande entreprises du pays y sont aussi représenter. Et comme dans beaucoup de pays dans le monde 🌍, vu que l’économie et le pouvoir y sont concentrés c’est aussi ici que l’on peut trouver le plus de travail.
Que ce soit des architectes, des développeurs, des médecins, des comptables tous les corps affluent de toutes la Colombie car il est plus facile d’y trouver du travail.
A titre d’exemples les différents salariés de notre société en Colombie ne venaient pas de Bogota. Mais ils y sont venus pour travailler sans pour autant apprécier la ville en elle même.
En superficie Bogota cela donne 16 fois Paris. C’est IMMENSE ! J’imagine même pas ce que pourrait être le marathon de Bogota sans parler du dénivelé et de la gestion de l’altitude.
Que ce soit de la part des touristes ou des colombiens eux-mêmes, cette ville divise car pour certains le climat peut y être hostile, de plus car c’est aussi une grande ville avec tout ce qui va avec. Urbanisation à l’extrême, embouteillages monstre, pollution. Tout cela, sont des éléments forcément stressants pour une bonne partie.
D’un autre côté Bogota joui d’une ouverture sur le monde, et est un carrefour immense de toute l’Amérique Latine, voir du monde entier. Une ville remplie d’histoire, de musée, de lieu incroyable, de fait historique.
C’est une ville qui ne s’arrête jamais de vivre. Personnellement j’aime beaucoup Bogota même si je ne me vois pas y m’installer durablement, c’est toujours un plaisir d’y séjourner.
Déjà le simple fait d’être dans la montagne je suis fan ! Mais aussi car niveau business je n’ai jamais vu une ville aussi dynamique ! Les opportunités sont multiples de peu que l’on ait envie !
Et comme partout en Colombie l’on mange et l’on boit bien ! Mais ça nous y reviendrons dans un prochain article !
La campagne n’est pas si loin
Ce que je trouve vachement chouette à Bogota mais en Colombie de façon générale c’est qu’à 20 ou 30 minutes des grandes villes l’on est vraiment en pleine nature. Pas en petite campagne d’une grande ville mais réellement dans la nature. Dans les montagnes, avec des plaines, des animaux, des rivières !
C’est juste génial c’est aussi je pense ce qui me fait apprécier cette ville, car l’oxygègne n’est pas loin. Si l’on souhaite couper et déconnecter, cela est possible et assez rapidement. L’on peut partir faire du cheval, faire des randonnées ou encore du vélo.
Bogota c’est une ville qui respire !
PS : Dans cet article j’y glissé des très anciennes photos de 2012 prise avec un ancien téléphone. Pardonnez-moi de la qualité
